Huit experts internationaux, représentant cinq pays (Belgique, Côte d’Ivoire, France, Maroc et Sénégal) étaient en formation à Fontaine. Ils apprennent à rechercher des mission d’expertises internationales et à les conduire conformément aux objectifs de développement durable de l’ONU.
Félix AMARI, Henri-Bertrand AUDRERIE, Marcelin BINTU, Mohamed EL MOUARRIF, Jamila HEDJAL, Massaoud Abdel Aziz KAMAGATE, Honoré OKOU et Djibril SALL sont invités à se rendre à l’ONU à Genève à la fin de leur formation.
Des domaines d’expertise très variés
Ces huit experts internationaux aux spécialités très variées (éducation, développement durable, bâtiment, travaux publics, recherche, efficacité énergétique, enseignement, banque, audit financier, santé publique, sepsis infectiologie, intelligence économique, gestion foncière …), vont être en mesure, à l’issue de la formation, d’accomplir des missions internationales.
Chaque pays possède ses experts propres qui réalisent les missions nationales auxquelles ils sont appelés. Mais il y a un manque d’experts internationaux formés. Ce manque est devenu plus flagrant au fur et à mesure que les dix-sept objectifs de développement durable de l’ONU sont devenus vitaux pour l’avenir de la planète comme pour celui de l’humanité.
L’Institut des Experts Internationaux CQFD 3 quai du Drac (Fontaine), les forme, leur permet de réaliser des missions, de devenir membres de l’Ordre Mondial des Experts Internationaux (OMEI)) Genève et d’être inscrits sur le Tableau des experts internationaux.
Au cours de la rencontre qui s’est tenue jeudi à Fontaine, le président de l’Institut, Jacques VIALAT a indiqué :
« Les experts qui sont formés par l’Institut des experts internationaux viennent de tous les pays du monde. Ils sont principalement francophones. Le français est une langue encore largement parlée dans le monde et permet d’obtenir des missions internationales, ce que soulignera le prochain sommet de la francophonie qui aura lieu en novembre en Tunisie. Ces mêmes experts formés à Fontaine auront l’opportunité en décembre à Paris de visiter l’Assemblée nationale et le Sénat à titre d’exemples des institutions d’une démocratie. C’est par l’échange entre les différentes cultures et la rencontre entre les peuples que nous dirigeons nos pas, vers une paix mondiale »
Source : Le Dauphiné Libéré – Dimanche 10 octobre 2021